Dans le but d’approfondir nos connaissances anthropologiques, lors des nombreuses fouilles près d’anciens lacs africains maintenant asséchés, les chercheurs ont été surpris par la présence ou non d’ossements d’enfants en bas âge dans les grottes étudiées. Quelle n’a pas été leur surprise, quand ils ont découvert, quasiment de façon systématique, que les lieux où l’on trouvait des restes de "cache sexe en peaux de bêtes, près des ossements d’adultes de sexe féminin" il y avait très peu de squelettes d’enfants et inversement, dans les grottes où il n’y avait pas de ces vêtements en fourrures féminin, il y avait beaucoup d’ossements d’enfants. Après recoupements de toutes les infos en leur possession, ils ne pouvaient pas faire autrement que d’y voir un lien direct de cause à effet. Et la conclusion fût plutôt surprenante :